Collection Folle Du Cul. Les Aventures D’Audrey Et Les Villages Peoples (3/4)

Et dire que j’en suis là ayant joué avec Tony par ordi interposé.
J’étais une femme sérieuse et aimante jusqu’à ce que je découvre que mon mari m’espionnait ayant cassé les codes secrets de mon ordinateur.
Je me suis amusée avec Chris71 à le piéger en suivant même l’auteur de mon histoire jusqu’à Amsterdam où il m’a enfermé dans une boutique de nue et de baise où je me suis éclatée avec bon nombre de clients.

C’est avec des dames rencontrées devant les écoles de Bondues que Sylvie organise l’enterrement de vie de jeune fille de sa petite soeur Karène.
Je parle de Chris71, car je suis sûr que c’est lui une nouvelle fois qui tire les ficelles de ce que nous subissons, surtout moi.
Je dois être fragile psychologiquement, car il arrive à me faire faire des choses insensées.

Elle est drôle Audrey, je lui demande de faire et elle fait.
Il est vrai que je l’ai emmené à Amsterdam pour l’enfermée à la place de ma copine Maggy.
Pour la faire entrer dans la boutique se prosti, nous lui avons simplement demandé et elle l’a fait.
Dans les situations scabreuses, c’est toujours Chris71 le responsable de ce qui m’arrive.
Même si je sais que Tony se frotte la queue chaque fois qu’il lit une de ces frasques qui me sont suggérées, s’ils veulent de l’inédit, je vais leur en donner.
J’ai remarqué de nombreuses boutiques non éclairées à côté de celle de Maggy.
Il serait drôle de voir six salopes françaises alignées en rang d’oignons montrant, chacune leur charme.
Incohérence, une nouvelle fois, je veux redevenir sage et je me compte dans les six, je dois reconnaitre un grand nombre d’incohérences dans mon comportement.
On pourrait organiser un concours où la gagnante resterait une semaine supplémentaire, dans la même ville, dans la même boutique à se faire baiser contre monnaie trébuchante.
Nous pourrions instaurer que l’argent ainsi gagné rentrerait dans la cagnotte que nous avons créée et qui nous permet d’organiser cette soirée avec les Villages Peoples.


Enfin, un groupe de chippendales mimant le célèbre groupe américain.
Dans un coin de ma tête, je voulais redevenir la fille sage que j’étais avant d’être entraîné dans un tourbillon sexuel grâce ou à cause de mon auteur préféré.

Un verre d’orangeade dans la main, je suis nue devant ce buffet préparé par le traiteur que Sylvie a joint et qui s’occupe de l’avant et de l’après.
À nous de faire la fête à Karène avec les garçons aussi nus que nous.
C’est Sylvie qui s’est occupée de l’ambiance pour cette soirée.
Elle voulait certainement voir ses copines un peu plus délurées, elle doit être servie.
Même sa sœur, pour qui nous avons accepté cette soirée, est une jeune fille sans tabou.
Je me demande comment le mari va pouvoir la gérer, un cocu en puissance après leur mariage quand nous voyons l’avant.
Comme avec Chris je me suis trouvée des envies de liberté sexuelle, elles aussi sont de fieffer salopes.

Ted en a fini avec Karène, mais la jeune fille est loin elle d’en avoir terminée.
Il faut dire qu’un gâteau à la crème au chocolat, ça laisse des traces.
C’est ce que l’Indien et le marin essaye d’effacer en léchant le cul de celle qu’en début de soirée je croyais pucelle.
Chacun une cuisse et une fesse malgré la silhouette frêle de la demoiselle, ils ont de quoi déguster.
Je vois Sylvie à deux doigts d’aller leur rappeler qu’ils sont là pour satisfaire ses copines et non de s’empiffrer de crème au chocolat.
C’est mal connaître le professionnalisme des garçons, même si c’est un groupe amateur et qui plus est pompier de Paris, le reste de la semaine.
Ils se redressent.
Je pense qu’ils vont l’embrasser, mais ils lui prennent chacun une main et l’entrainent vers la table ou j’ai moi-même été baisée.
À quelques mètres du gâteau en partie massacré, mais avec deux belles pommes en son centre, ils l’aident à monter sur la table.
« Can Stop The Music » débute dans la sono de la salle.

Les trois danses en rythme et il va de soi, chaque fois qu’ils le peuvent, joue avec leur sexe pour aguicher la coquine.
Lorsqu’ils sont montés, ils avaient baissé les armes, mais rapidement ils nous montrent une forme comme à la première heure.
Ils savent danser, Karène aussi, je suis aux anges.
Vous voyez ces deux mots « aux anges », avant à aucun moment, ils seraient venus dans mon esprit, j’ai raison de dire que l’auteur fait de moi ce qu’il veut.

Alors que pour cette soirée, je pense que je me suis assez donnée, Ted s’approche de moi.
Il fait bouger ses pectoraux.
Je fonds littéralement.
Il m’entraine vers la scène emmenant avec lui une chaise.
Il me fait assoir et commence à tourner en rythme bien sûr la musique continuant à jouer.
C’est un morceau des Villages, mais inconnu pour moi.
J’ai l’impression d’un lion tournant autour de sa proie.
La proie, c’est la petite Audrey qui sent qu’elle va se faire dévorer toute cru.
Pour dire si je dois m’inquiéter, il me rend une tête alors lui debout, moi assisse, c’est un lion de l’Atlas qui tourne autour de moi.
Nue comme il est sa verge me paraît plus impressionnante que lorsque Karène s’en occupait.
Quelle jeune salope cette petite, autant d’expérience si jeune, moi a son âge, je jouais encore à la poupée.
Tient, Ted m’offre sa bite, pourquoi la refuserais-je, j’ai fait bien pire et que fait Tony lorsqu’il me dit qu’il va jouer au poker avec ses copains.
Je suce, cette bite, dans mes pensées me ramenant justement au temps où je jouais à la poupée.
Je vais vous faire un aveu même caché à mon mari.
J’avais juste l’âge pour que l’homme qui s’est exhibé devant moi, évite toute procédure.
J’étais loin de penser qu’un jour j’épouserais mon mari qui m’a donné mes deux magnifiques filles.
Ce que je vais dire, même à lui comme je viens de le dire, je l’ai caché.
C’était le directeur du lycée.

J’étais une jeune fille timide, bien que contrairement à ce que Chris m’oblige à faire, je suis toujours très timide.
Je venais d’arriver avec mes parents et il m’a convoqué sous couvert de papier.
Je vois que je suis parti ailleurs alors que Ted me tient la tête et me rentre sa bite jusqu’au fond de ma gorge.
Il la fait ressortir et je comprends pourquoi je repense à mon directeur de lycée.
Son gland est le même que celui que j’ai vu ce jour-là dans ce bureau.
Après m’avoir fait attendre devant sa porte, sous couvert de préparer les papiers, à ce moment j’étais une jeune fille chaste.
Lorsque monsieur le directeur m’a dit de m’approcher, j’ai avancé sans penser à ce que j’allais voir.
J’ai failli partir en courant lorsqu’il s’est reculé, il tenait sa verge en main et son gland énorme m’est apparu, la même tête que celui de Ted.
Il se masturbait et comme s’il pensait d’un coup qu’il outrepassait sa fonction au moment où son jus a giclé, il m’a dit s’être trompé et que ma mère avait déjà signé le papier.
Quant à Ted, il semble qu’il ait assez abusé de ma bouche ou alors il réserve ses giclées de sperme pour ma chatte, pourquoi pas mon anus.
Mais je pense qu’il ignore la chienne que je suis capable d’être sous la plume de mon mentor.
Me relevant, il me fait poser mes mains sur la chaise me faisant tendre mes fesses.
Je sens sa bite caresser ma chatte lorsqu’il s’avance par-derrière.
Il écarte mes lèvres vaginales une fraction de seconde et se ravissant, il me sodomise sans autre forme de procès.
Comme je l’ai dit, j’aime être sodomisée depuis cette première fois ou je l’ai fait, mais rarement on m’a pris aussi sauvagement.
D’une main, il me tire par les cheveux et de l’autre il me claque violemment les fesses.
Comme je l’ai dit, chienne, je suis de nouveau une chienne infidèle à celui qui garde nos s.
Quand je hurle des différents plaisirs qu’il m’offre chaque fois que ses couilles frappent mes fesses et que sa main s’abat avec violence, toutes les filles savent que j’ai été celle qui a eu la plus grande jouissance de la soirée.

Je repense à mon directeur, ce jour-là, j’étais parti en courant.
Il gicle enfin dans mon cul de pute et je sens le sperme couler le long de mes jambes.
Enfin, il me libère, je devrais être scandalisé de ce que je viens une nouvelle fois de faire, mais lorsqu’il me ramène vers le buffet et qu’il m’offre une part de gâteau coupé par Sylvie, je le dévore à belles dents.

C’est bientôt la fin de la fête et sans s’en douter, celle pour qui elle avait été organisée va être le clou du spectacle bien que ce que je viens de faire ait pu l’être.
L’Indien, l’ouvrier et le mauvais garçon se saisissent de Karène et l’entrainent vers les tables où ils l’aident à monter.
Ils l’incitent à se trémousser, pendant que la peau rouge et le bat Boy la rejoignent sautant sans élan.
Elle se baisse jusqu’à être à hauteur des verges.
Je vois nettement qu’elle les att par les couilles et une après l’autre les suces nous montrant la grande technique qu’elle possède.
Elle aussi je vais l’inviter dans ma piscine.
Mieux, ce sont les six qui vont venir goûter à l’onde claire.

Une nouvelle fois, je suis contradictoire, je rêve de retrouver une situation plus calme et en même temps je rêve de situations scabreuses.
Les avoir autour de ma piscine, nous savons comment nous serons manipulées.

L’équilibre est instable sur cette table, mais l’Indien arrive à s’allonger.
Karène s’empale sur la verge suivie rapidement par le mauvais garçon qui s’empresse de l’enculer.
Double pénétration.
L’ouvrier saute sur la table à son tour et enjambant les trois corps, il présente sa verge à Karène qui s’empresse de la sucer.
Les autres filles un verre d’alcool en main admirent la future mariée se faire prendre par les deux garçons en suçant un troisième.
J’avais raison, elle a de l’expérience et mes copines sont de belles salopes.
Si c’était la première fois surtout pour son anus, les cris de plaisir qu’elle pousse seraient des cris de douleur alors que ce sont largement des cris de plaisir.
Les deux garçons explosent certainement en même temps l’entraînant dans un dernier orgasme à voir ses yeux se révulser.
J’ai hurlé de plaisir sous les coups de bite du motard, mais la jeune femme me dépasse de plusieurs octaves.
Ils l’aident à descendre, ses jambes sont chancelantes.
Radia se précipite l’empêchant de tomber, surtout que d’un coup, les lumières de couleurs d’ambiance se mettent à clignoter...

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